• FAITES DES STOCKS DE BANANES !!!

     

    éloignez-vous des contaminés!!!

     

    FAITES DES STOCKS DE BANANES !!!

     

    La variole du singe, dont plusieurs cas ont été détectés en Europe et en Amérique du Nord, est une maladie rare originaire d'Afrique, dont on guérit en général spontanément.

    Après l'Italie, la Suède, et dans d'autres pays d'Europe et d'Amérique du nord, un premier cas confirmé de variole du singe, une maladie rare normalement cantonnée au continent africain, a été détecté en France, ont indiqué vendredi 20 mai les autorités sanitaires. Il s’agit d’un homme de 29 ans sans antécédent de voyage dans un pays où circule le virus.

     Après deux ans de Covid-19, faut-il craindre une nouvelle pandémie ? Le point sur ce que l'on sait de cette maladie.

     ​​​​​Qu'est-ce que cette maladie ?

    La variole du singe ou "orthopoxvirose simienne" est une maladie rare dont le pathogène peut être transmis de l'animal à l'homme et inversement. Quand le virus gagne l'être humain, c'est principalement à partir de divers animaux sauvages, rongeurs ou primates par exemple. La transmission d'un humain à l'autre est limitée, explique l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).

    L'infection par le virus débute par une fièvre, souvent forte et accompagnée de maux de tête, de courbatures et de fatigue. Après 2 jours environ, apparaît une éruption vésiculeuse, la formation de croutes puis la cicatrisation. Des démangeaisons sont fréquentes. Les bulles se concentrent plutôt sur le visage, les paumes des mains et plantes des pieds. Les muqueuses sont également concernées, dans la bouche et la région génitale. L'incubation de la maladie peut aller de 5 à 21 jours. La phase de fièvre dure environ 1 à 3 jours. 

    La maladie, généralement bénigne, guérit le plus souvent spontanément, au bout de 2 à 3 semaines.

    On l'a identifiée pour la première fois chez l’homme en 1970 en République démocratique du Congo (ex-Zaïre) chez un garçon âgé de 9 ans vivant dans une région d’où la variole avait été éliminée depuis 1968. Depuis 1970, des cas humains d'orthopoxvirose simienne ont été signalés dans 10 pays africains. Au printemps 2003, des cas ont aussi été confirmés aux États-Unis, marquant ainsi la première apparition de cette maladie en dehors du continent africain. 

    Comment se transmet-elle ?

    L'infection des cas initiaux résulte d’un contact direct avec du sang, des liquides biologiques ou des lésions cutanées ou muqueuses d'animaux infectés. La transmission secondaire, c'est-à-dire interhumaine, peut résulter de contacts étroits avec des sécrétions infectées des voies respiratoires, des lésions cutanées d’un sujet infecté ou d'objets récemment contaminés par des liquides biologiques ou des matières provenant des lésions d’un patient. 

    L'OMS explique également que la maladie se transmet par les particules des gouttelettes respiratoires et nécessite en général un contact face à face prolongé avec une personne contaminée. Voilà qui rend donc sa transmissibilité assez faible, explique Antoine Gessain, responsable de l’unité d’épidémiologie et physiopathologie des virus oncogènes à l’Institut Pasteur, auprès de BFMTV. "Ce n'est pas du tout comme le Covid qui stagne dans l'air".

    Lundi, l'OMS a indiqué s'intéresser de près au fait que certains des cas au Royaume-Uni semblent avoir été transmis au sein de la communauté homosexuelle. "Il est probablement trop tôt pour tirer des conclusions sur le mode de transmission ou supposer que l'activité sexuelle était nécessaire à la transmission", a toutefois prévenu Michael Skinner, virologue à l'Imperial College London, auprès de l'organisme Science media centre (SMC).

    "Ce n'est pas une maladie spécifiquement sexuellement transmissible. Les données actuelles ne permettent pas d’établir une transmission sexuelle dans la mesure où en Afrique rien n'a été étudié à ce propos. Jusqu’à présent, ce virus n’avait jamais intégré une communauté à risque important de transmissions sexuelles comme ici", estime de son côté Antoine Gessain.

    Quelle est sa gravité ?

    La variole du singe guérit en général spontanément et les symptômes durent de 14 à 21 jours. Les cas graves se produisent plus fréquemment chez les enfants et sont liés à l'ampleur de l’exposition au virus, à l'état de santé du patient et à la gravité des complications.

    Selon les épidémies, le taux de létalité a pu varier énormément mais il est resté inférieur à 10% dans tous les cas documentés, principalement chez les jeunes enfants. 

    "On estime que la souche d'Afrique de l'Ouest, dont souffrent les cas britanniques, a un taux de mortalité d'environ 1%. Il existe également une souche trouvée dans la région du Congo qui peut être mortelle dans 10% des cas, mais les cas britanniques n'ont pas cette souche", a déclaré Simon Clarke, professeur en microbiologie cellulaire à l'université de Reading, au SMC.

    Existe-t-il un traitement ?

    Il n’existe pas de traitements ou de vaccins spécifiques contre l'orthopoxvirose simienne, mais on peut endiguer les flambées, explique l'OMS. On a prouvé dans le passé que la vaccination antivariolique avait une efficacité de 85% pour la prévention de l'orthopoxvirose simienne mais le vaccin n'est plus disponible pour le grand public après l'arrêt de sa fabrication suite à l'éradication mondiale de la variole. 

    "La bonne nouvelle, c'est que le vaccin contre la variole marche contre la variole de singe; la mauvaise c'est que la plupart des personnes de moins de 45 ans ne sont pas vaccinées", a tweeté l'épidémiologiste Eric Feigl-Ding.

    Faut-il craindre une épidémie ?

    "Ce qui est inédit, c’est qu’à chaque fois qu’on voyait des cas, c'était de manière sporadique. Ils se limitaient à un territoire. Or là, la variole du singe est présente sur différents continents", a souligné l'infectiologue Benjamin Davido auprès de BFMTV. 

    Mais pour Antoine Gessain, "il n'y a pas beaucoup de risque d'une grande pandémie".

    A ce stade, les cas rapportés en Europe sont majoritairement bénins, et il n'y a pas de décès signalé. La maladie est plus grave chez les enfants et chez les personnes immunodéprimées. "La létalité rapportée varie entre 1 et 10% mais la transmissibilité du virus est moindre que le Covid", a souligné vendredi lors d'un point presse Alexandra Mailles, épidémiologiste à Santé Publique France. "Il y aura un suivi des 'cas contact' beaucoup plus léger que celui du Covid: contrairement à ce qui se produit avec le virus du SARS-Cov2, une personne infectée n'est en effet pas contagieuse avant le début des symptômes", a-t-elle ajouté. En cas d'apparition des symptômes, il est impératif de s'isoler et de porter un masque, a encore indiqué Santé Publique France. 
     

     Source :Orange avec Media Services 

     

    pas de problèmes:les laboratoires vont"trouver un vaccin" pour "renflouer"leurs caisses et nos dirigeants vont avoir un nouvel argument pour justifier de la hausse des prix...

     

     

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    Mercredi 25 Mai 2022 à 08:21

    j'  espère   que   le    gouvernement   n'en  tirera   pas   une   laisse    de   plus   pour   nous    obliger   à  obéir !

    Il  n'  y   a   pas    de raison     de   vacciner,   puisque     ça    se   guérit   tout   seul !

     Passe   une    bonne   journée

    2
    Jeudi 26 Mai 2022 à 12:42

    IL FAUT LE PIQUER CELUI LA !!!

    3
    Jeudi 26 Mai 2022 à 17:51

    il faut bien trouver autre chose le covid on en parle pratiquement plus la variole du singe tombe à point , c'est la saga des virus ! Les labos vont encore s'enrichir et nous trouver un vaccin et persuader nos dirigeants de nous faire vacciner...

    Bonne fin de journée. Chrys.

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