• POLITIQUE

  •  ...ALORS POURQUOI DÉMISSIONNER??

     

    Eric Dupond-Moretti dit que sa démission "n'est pas à l'ordre du jour" 

     

    Le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti a affirmé mardi que sa démission n'était "pas à l'ordre du jour", au lendemain de la décision de la Cour de justice de la République (CJR) de le renvoyer en procès pour "prise illégale d'intérêts".

    "La Première ministre a réaffirmé hier toute la confiance qu'elle me portait", a souligné le ministre, ajoutant que sa mise en examen, depuis juillet 2021, et maintenant son renvoi devant cette juridiction n'avaient "jamais entravé (son) travail".

    La CJR, seule instance habilitée à juger les membres du gouvernement pour des crimes ou délits commis dans l'exercice de leur mandat, a ordonné lundi un procès contre Eric Dupond-Moretti, une première pour un garde des Sceaux en exercice. 

    Il est accusé d'avoir profité de sa fonction pour régler des comptes avec des magistrats auxquels il s'était opposé quand il était avocat.

    Ses avocats Christophe Ingrain et Rémi Lorrain ont indiqué avoir "immédiatement" formé un pourvoi en cassation.

    Sollicité par l'AFP, Matignon a déclaré lundi que l'ancien ténor des barreaux avait "toute la confiance de la Première ministre" Elisabeth Borne et que "la question de son maintien au gouvernement ne se (posait) pas".

    "Un pourvoi en cassation a été formé et je ferai valoir un certain nombre d'éléments de droit. Et s'il fallait que je sois jugé, je dirais ce que j'ai à dire, je suis un justiciable comme un autre", a ajouté le ministre en marge d'un déplacement à Paris.

    Source :AFP

     

    encore une fois,La fontaine avait raison quand il disait"selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blanc ou noir"...

     

     


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  • ...AVEC LE NOUVEAU GOUVERNEMENT

     

    ON DÉPASSE LES BORNES...

     

    ON DÉPASSE LES BORNES...

    Pap Ndiaye, nommé ministre de l’Éducation nationale

    L’historien spécialiste des minorités est le nouveau ministre de l’Éducation nationale. C’est la première fois qu’il fait son entrée au gouvernement.

    Son arrivée au gouvernement est inattendue. Ce vendredi 20 mai, Pap Ndiaye vient d’être nommé ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse. Il remplace Jean-Michel Blanquer en poste depuis 2017. Cet historien spécialiste des minorités et de l’histoire sociale des États-Unis, et auteur de La Condition noire, fait ses premiers pas au sein du gouvernement. Il est le frère de la romancière Marie Ndiaye

    Son père, Tidiane N’Diaye est un ingénieur sénégalais et sa mère, professeur de sciences naturelles, est française. Après un bac au lycée Lakanal de Sceaux (92), et une classe préparatoire littéraire au lycée parisien Henri-IV, il intègre l’Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud (aujourd’hui l’ENS Lyon) en 1986, d’où il sort agrégé. Par la suite, il devient également titulaire d’un doctorat de l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). Il y est ensuite maître de conférences avant d’être professeur d’histoire sociale à Sciences Po Paris. De 1991 à 1996, il étudie aux États-Unis, pour préparer une thèse d’histoire sur DuPont de Nemours à l’université de Virginie.

    En 2020, il rédige un rapport sur la diversité à l’Opéra de Paris, avec Constance Rivière, secrétaire générale du Défenseur des droits. Ce rapport préconisait de faire la promotion de l’Ecole de danse de l’Opéra et des conservatoirs de musique auprès des personnes issus de la diversité. Selon lui, s’il n’y a pas de musiciens noirs dans les orchestres classiques, ce n’est pas parce qu’ils sont recalés aux concours de recrutement, mais plutôt qu’il n’y en pas qui se présentent. Depuis l’année dernière, il est directeur général du palais de la Porte-Dorée et dirige le musée de l’histoire de l’immigration. En janvier dernier, Dominique Boutonnat, le résident du CNC (Centre national du cinéma) le nomme président de la « commission Images de la diversité ».

    Auteur de tribunes et favorable au « comptage ethnique»

    Pap Ndiaye n’a jamais caché son engagement politique. En 2012, il a participé à l’écriture de la tribune «Pour une nouvelle République», publiée dans L’Obs , invitant à voter pour François Hollande, alors candidat socialiste à l’élection présidentielle. L’historien marque une certaine rupture avec son prédécesseur. «Sur tout ce qui touche aux minorités, il incarne des orientations qui ne sont certainement pas celles que Jean-Michel Blanquer a mises en œuvre», affirme ainsi le sociologue Michel Wieviorka.

    Pap Ndiaye est un fervent défenseur de la condition des personnes noires en France. Dans un article de Libération de 2007, l’historien s’était dit favorable au «comptage ethnique», une pratique controversée et interdite en France. Dans une interview donnée au Monde en 2017, l’auteur de la condition noire affirme que les « associations spécifiques», qui organisent des réunions en non-mixité raciale «peuvent contribuer utilement à la vie démocratique». Il dénonce aussi «un racisme structurel en France». En 2018, Pap Ndiaye fait parler de lui en déclarant dans un article du Monde : «Gommer le mot “race” de la Constitution française est un recul». Sur France Inter, le 4 juin 2020, il a par ailleurs affirmé : «L’attitude de déni sur les violences policières en France est classique.»

    Ces prochains jours, Pap Ndiaye devra se pencher sur plusieurs sujets. À commencer par le retour des mathématiques dans le tronc commun du programme de première et terminale au lycée, comme promis par Emmanuel Macron et son prédécesseur à l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer.

    Source : AFP agence

     

     En 2016, Pap NDiaye participait donc à des « réunions en non mixité » (interdites aux blancs) aux côtés des pires « indigénistes » dans le

    « bâtiment occupé » de l’université Paris 8. Voici celui qui sera chargé de l’éducation de nos enfants. (https://twitter.com/DamienRieu)

     

    ON DÉPASSE LES BORNES...

    ON DÉPASSE LES BORNES...

    Gouvernement Borne : Rima Abdul Malak, une « bosseuse » nommée à la Culture

    Conseillère Culture et communication d'Emmanuel Macron depuis 2019, cette femme de 44 ans est connue pour être méthodique. Elle incarne une nouvelle génération, capable de faire évoluer le ministère.

    Depuis décembre 2019, Rima Abdul Malak occupait le poste de conseillère culture et communication de l'Élysée, avec efficacité et méthode. Celle que l'on surnommait parfois la «ministre bis» de la Culture, tant elle avait l'oreille de d'Emmanuel Macron, va prendre la succession de Roselyne Bachelot, rue de Valois. C'est un défi pour une femme n'ayant jamais dirigé d'institution et n'ayant jamais été élue. Qu'importe, âgée de 44 ans, Rima Abdul Malak est du genre à attaquer les difficultés avec pragmatisme, et une indéniable énergie.

    Franco Libanaise, de culture chrétienne, elle passe son enfance au Liban, avant d'arriver à Lyon avec sa famille. Elle démarre tout d'abord une carrière dans l'humanitaire, avant de rejoindre la mairie de Paris, sous l'ère de Bertrand Delanoë. Elle sera pendant quatre ans auprès de Christophe Girard, adjoint à la Culture de la mairie. En 2014, la jeune conseillère poursuit sa carrière outre-Atlantique et rejoint le service culturel de l'ambassade de France à New York, en tant qu'attachée culturelle.

    Dotée d'une double culture, avec des goûts éclectiques et un regard sur l'ailleurs, elle devrait apporter un vent de fraîcheur au ministère, lequel est en pleine crise existentielle. Même si elle n'est pas connue pour «renverser les tables», cette femme de la nouvelle génération accompagnera la transition vers un nouveau monde, celui du numérique, de la démocratisation culturelle ou de la reconquête du jeune public dans les salles et les musées. Quant au président de la République, qui ne compte pas lâcher le terrain culturel, il aura une alliée de choix rue de Valois.

    Source :lefigaro.fr

     

    VIVE LA FRANCE!!!

     

     

     

     

     


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    LE GRAND REMPLACEMENT?? ACTE 1

    LE GRAND REMPLACEMENT?? ACTE 1

     

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    LE GRAND REMPLACEMENT?? ACTE 1

     

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    LE GRAND REMPLACEMENT?? ACTE 1


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  • J- 10...

     

    réfléchissons avant de voter...

     

    J- 10...


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  • 60 ANS AVANT E.M

     

    Guerre d'Algérie : le Parlement adopte définitivement le projet de loi de "réparation" en faveur des harkis

    Le texte reconnaît "les conditions indignes de l'accueil" réservé aux 90 000 harkis et à leurs familles, qui ont fui l'Algérie pour la France après l'indépendance.

    Soixante ans après la fin de la guerre d'Algérie, le Parlement a adopté définitivement mardi 15 février, par un ultime vote du Sénat, un projet de loi pour demander "pardon" aux harkis. Le texte reconnaît "les conditions indignes de l'accueil" réservé aux 90 000 harkis et à leurs familles, qui ont fui l'Algérie après l'indépendance.

    Près de la moitié d'entre eux ont été relégués dans des camps et des "hameaux de forestage". "Ces lieux furent des lieux de bannissement, qui ont meurtri, traumatisé et parfois tué", selon la ministre chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants Geneviève Darrieussecq. 

    Une réparation monétaire pour certains

    Pour ceux-ci, le projet de loi prévoit une "réparation" avec à la clef une somme forfaitaire de 2 000 à 15 000 euros. Le nombre de bénéficiaires potentiels est estimé par le gouvernement à 50 000, pour un coût global de 302 millions d'euros sur environ six ans.

    Si le niveau d'indemnisation été jugé "faible", voire "ridicule" par certains, les déceptions se sont cristallisées sur les quelque 40 000 rapatriés exclus de la réparation parce qu'ils ont séjourné dans des "cités urbaines", où ils n’étaient pas privés de liberté de circulation, même s'ils ont connu des conditions de vie précaires.

    Ce texte vient concrétiser un engagement pris par le président Emmanuel Macron, qui, le 20 septembre dernier, avait demandé "pardon" à ces Algériens ayant combattu aux côtés de l'armée française, mais qui furent abandonnés par la France après la signature des accords d'Evian, le 18 mars 1962. Jusqu'à 200 000 harkis avaient été recrutés comme auxiliaires de l'armée française pendant le conflit entre 1954 et 1962.

    franceinfo avec AFP

     

    tous les moyens sont bons pour "récupérer" des votes à 2 mois des élections...

     


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